Dorothy Dandridge
Dorothy Dandridge née un 9 novembre aurait eu 90 ans aujourd’hui si elle n’avait pas disparut prématurément le 8 septembre 1965 à l’âge de 42 ans. De ce que je vois, Dorothy Dandridge est peu connue pour ne pas dire pas du tout en France, et quasiment oubliée par le grand public aux USA. J’ai découvert il y’a peu qu’en plus de son étoile sur Hollywood boulevard, elle a dans le quartier une sculpture la représentant moulée dans une robe à Oscar. Pour ma part, j’ai découvert cette actrice grâce au Carmen Jones d’Otto Preminger. C’est un de mes films de chevet, ceux que je peux revoir au moins une fois tous les trimestres pour le plaisir. Je n’ai pas encore vu le biopic télévisée de 1999 avec Halle Berry dans le rôle de la diva. En attendant de le voir, un petit clin d’œil et un Happy birthday posthume à miss Dorothy. Avec en prime pour le plaisir la bande annonce de mon film de chevet.
Dorothy Jean Dandridge Fille d’un pasteur et de la comédienne Ruby Dandridge, elle apprend à chanter et danser avec sa mère dans sa ville de naissance à Cleveland dans l’Ohio. Parallèlement, la jeune fille et sa sœur aînée, Vivian, se produisent, sous le nom des Wonder Kids, dans des spectacles religieux au sein d’églises. Le duo sillonne ainsi les États-Unis, et elles sont toutes deux très vite repérées par un talent scout de la Metro-Goldwyn-Mayer. En 1932, elles s’installent donc à Hollywood. En 1934, les sœurs Dandridge sont rejointes par la jeune chanteuse Ella Jones. Ainsi reformé, le groupe se fait désormais appeler les Dandridge Sisters. En 1937, elles apparaissent dans It can’t last forever aux côtés de Ralph Bellamy. La même année, Dorothy joue seule un petit rôle, dans Un jour aux courses aux côtés des Marx Brothers, et se fait engager au célèbre Cotton Club. Le trio se reforme en 1939, pour présenter au Center Theater de Broadway, la comédie musicale Swingin’ the dream produite par Erik Charell.
Dans les années 1940, Dorothy Dandridge prête sa voix à plusieurs courts métrages d’animation, et joue des rôles de complément dans plusieurs productions cinématographiques, parmi lesquelles : la Fille du péché (1941) avec John Wayne, Deux nigauds cow-boys (1942) avec Bud Abbott et Lou Costello, Jordan le révolté (1942) avec Alan Ladd et Depuis ton départ (1944) avec Claudette Colbert. Artiste complète, elle chante également, toujours sur les scènes de Broadway, dans Meet the people (1940-1941), un spectacle musical de Danny Dare, ainsi que dans l’orchestre de Desi Arnaz. En 1942, le 6 septembre pour être précis, Dorothy épouse Harold Nicholas, un des frères Nicholas, fameux danseurs de claquettes. (Dans Cotton Club de Coppola, Gregory Hines joue son rôle). En 1950, Dorothy Dandridge revient au cinéma dans le rôle de Melmendi la reine d’Ashuba dans Tarzan en péril aux côtés de Lex Barker. Trois ans plus tard, elle joue pour la première fois le rôle principal dans Bright Road, où elle donne la réplique à Harry Belafonte, qui restera un ami fidèle. En 1954, elle décroche le rôle titre de Carmen Jones dirigé par Otto Preminger. Le film est un succès, et son extraordinaire prestation lui vaut une nomination aux Oscars. De ce fait, elle devient la première femme noire à devenir une star du cinéma américain. Elle confirme son talent dans Une île au soleil (1957) avec James Mason, dans la production franco-italienne Tamango avec Curd Jürgens et dans Porgy & Bess (1959) avec Sidney Poitier, toujours de Preminger devenu, entre temps, son amant.
Dans les années 1960, Dorothy tourne encore deux films : Le Chemin de la peur (1960) avec Trevor Howard et The murder men (1961) avec James Coburn. En 1962, Christian-Jaque l’engage avec Alain Delon pour tourner un Marco Polo qui reste inachevé. Cependant, rencontrant de multiples déboires, tant sur le plan professionnel que personnel, elle décide de reprendre sa carrière de chanteuse. Quelques jours avant son retour sur scène au Basin Street East de New York, Dorothy Dandridge meurt d’une embolie cérébrale suite à un abus de médicaments. C’était le 8 septembre 1965, à West Hollywood, en Californie. Son corps est inhumé au Columbarium de la Victoire, au cimetière de Forest Lawn, à Glendale en Californie.
Bon week-end les amis !
Source : wikepedia
Bonjour Caroline,
Otto Preminger ce nom me dit quelque chose mais je ne connais pas Dorothy. Maintenant c’est fait. Bises.
Ma petite Kimi, je ne la connaissais pas mais tu lui rends un bel hommage. Elle était magnifique.
Nous t’embrassons.
Coucou Caro
Elle était super fashion je trouve, un vrai canon et après tu me dis que tu ne connais rien à la mode? Tu as vu ses photos et elle est sexy. J’adore. C’était la Béyoncé du cinéma de l’époque c’est super. Bisous.Jo
la premiere photo m’dit vaguement quelque chose mais la verite j’saurai pas t’dire pourquoi ma carounette mais j’t’kiffe a mort d’accord elle est top mais l’bo gosse de la video j’en ferais bien mon quatre heure mais kekechose m’dit que t’ai sur l’coup aussi 😆 j’t’bisouille ma poulette
Bonsoir Caroline. Je ne connaissais aps cette belle jeune femme. Bisous
Encore un beau portrait !
Merci pour ces compliments, et bienvenu par chez moi.
@Sandra
C’est un réalisateur qui a eu son heure de gloire à Hollywood, c’est surement pour çà. Je suis contente de te faire découvrir une belle actrice.
@Geneviève
Absolument divine et quel caractère, mais quand même morte si jeune.
@Jofashionista
C’est une coincidence ma belle, je suis vraiment très loin du monde de la mode, mais tant mieux si çà te permet de trouver quelque qualité à ce blog. Je n’aurais pas pensé à la comparer à Beyoncé mais pourquoi pas ?
@Stella
Avec toi je ne suis jamais au bout de mes surprises l’étoile, merci de garder ta belle humeur. Oh non, c’est un grand père aujourd’hui Harry Belafonte et même à l’époque je me serais contenter de l’admirer de loin, trop beau pour moi.
@Ecureuilbleu
Elle est quasiment oubliée la pauvre. Merci de ta fidélité.
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une très belle femme talentueuse
belle soirée
j’espère que tu as passé une belle journée
ti bo
•-~·*’Ś Ő Ń Ŷ Á’*·~-•
Elle me disait vaguement quelque chose, mais non, ou alors, j’ai vu un de ces films, mais à part son nom et …Rien de rien….
papy harry mais ma carounette tu fais d’la pub genre cent ans trop tard
aucun mec n’est trop bo ma poulette tu t’fais trop de bille
Un parcours intéressant que je découvre.
Je suis contente que vous le trouviez intéressant Supernana. Merci.
@sonya972
D’accord avec toi un talent fou et beaucoup de travail en plus dans un contexte historique pas facile. Oui mes journées sont remplies ces jours ci, ce sont les nuits qui me posent problème.
@bella bw swann
Tu n’es pas la seule. Heureusement que la pellicule l’a immortalisé. Avec les rediffusions on aura la chance de la revoir encore dans quelques temps.
@Stella
Moi je n’ai jamais parlé de Harry Belafonte ni vanté ses mérites directement mon étoile. Ma muse c’est Dorothy. C’est toi qui a fais tourné ton imaginaire toute seule :lol:. Je te rassure, même vieux, il a gardé tout ton charme. Et non je ne me fais pas de bile comme tu dis, je laisse les beaux garçons aux belles filles, c’est trop compliqué.
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Good post carolyne
Quelle belle femme cette Dorothy. Bon début de semaine Caro
Elle aurait illuminée ton objectif Gérard, tu en aurais fais un portrait mémorable j’en suis sure 💡
@ Robin
Thank you, you are lovely
CaroLINE Articles récents..J’ai signé la pétition The airfood project
merci pour le partage, bon mardi, kiss
Je ne pense que j’oublierais de si tôt Caroline.
merci pour le partage, passe une bonne semaine. rv en 2013, kiss.