Sonnet de porcelaine
Le soir, ouvrant au vent ses ailes de phalène,
Évoque un souvenir fragilement rosé,
Le souvenir, touchant comme un Saxe brisé,
De ta naïveté fraîche de porcelaine.
Notre chambre d’hier, où meurt la marjolaine,
N’aura plus ton regard plein de ciel ardoisé,
Ni ton étonnement puéril et rusé…
Ô frissons de ta nuque où brûlait mon haleine!
Et mon cœur, dont la paix ne craint plus ton retour,
Ne sanglotera plus son misérable amour,
Frêle apparition que le silence éveille!
Loin du sincère avril de venins et de miels,
Tu souris, m’apportant les fleurs de ta corbeille,
Fleurs précieuses des champs artificiels.
Renée Vivien (1877 – 1909)
La chambre qui meurt c’est toujours pas la joie ma caro lol mais c’est cool tu commences à faire d’autres trucs que des visages, après les arbres tu t’attaques au mobilier bon ben j’espere que tu vas pas redisparaitre tout un mois j’m’suis sentie super abandonnee
l’etoile qui t’adore
Poème beau et fragile Caro
un notre style de dessin à ton arc j’aime aussi A+
superbe ! bises cath
merci pour elle cath, cette Renée avait du chien
Non comme tu peux le constater, çà n’aura duré qu’une dizaine de jours cette fois ci. Je m’améliore. Hi ! hi !
Tes compliments sont si rares que je les prends. Je ne programme rien Stella, c’est vraiment selon l’humeur et l’envie d’essayer.
Tout comme moi n’est ce pas ce que tu voulais dire Gérard ? rires !
J’essaie Patrick, tant bien que mal. Merci.
c’est vrai ma caro mais j’t’charie a mort parce que tu m’manques et que j’sais jamais ce que tu veux qu’on y’a plus d’articles sur ton blog mais je kiffe ta chambre d’amour elle est cool on sent que ca doit etre dans un pays chaud peut etre bien au maroc tu pensais a quoi en le faisant dis ?
ma carounette j’espere que tout baigne pour toi et que t’a passe ton week end au chaud dans ton lit d’porcelaine j’t’bisouille