Edna St. Vincent Millay
Let all who prate of Beauty hold their peace,
And lay them prone upon the earth and cease
To ponder on themselves, the while they stare
At nothing, intricately drawn nowhere
In shapes of shifting lineage; let geese
Gabble and hiss, but heroes seek release
From dusty bondage into luminous air.
O blinding hour, O holy, terrible day,
When first the shaft into his vision shone
Of light anatomized! Euclid alone
Has looked on Beauty bare. Fortunate they
Who, though once only and then but far away,
Have heard her massive sandal set on stone.
Sonnet from The Harp-Weaver and Other Poems
by Edna St. Vincent Millay (1923)
C’est à moi de terminer ma visite chez vous.
Je reste un peu sur ma faim, ce n’est en aucun cas e votre faute, mais je suis parfaitement infirme en langue et n’en parle aucune autre, même l’anglais.
Je vous embbrasse et passez un bon WE. Dominique
Voici un commentaire qui m’avait échappé il y’a un an cher Dominique. Pour ce qui de la langue anglaise, j’en suis navrée pour vous, surtout parce que je n’ai pas le niveau pour traduire des sonnets d’une telle qualité.
ben voila qu’est ce que j’disais tout a l’heure et en plus j’l’disais juste pour rigoler le coup de un an pour repondre aux coms
me souviens plus d’elle j’devrais pourtant un truc aussi barge que des math et la poésie ca s’oublie pas et alors ma caro y’a bien une traduc quelque part
bonjour caroline, je vous ai envoyé un mail pour avoir des informations sur comment vous avez découvert Edna. A bientot et bravo pour votre blog. Jenifer