Pour Madeleine Seule
Le Déc 8, 2010 | Publié dans: Muses en poésie
Lune candide vous brillez moins que les hanches
De mon amour
Aubes que j’admire vous êtes moins blanches
Aubes que chaque jour
J’admire ô hanches si blanches
Il y a le reflet de votre blancheur
Au fond de cet aluminium
Dont on fait des bagues
Dans cette zone où règne la blancheur
O hanches si blanches
Guillaume Appolinaire – Poèmes à Madeleine
Tu me fais découvrir ce poème. Merci, Caro et bonnes fêtes à toi !
Je t’en prie Brigitte, j’ai adoré aller à la découverte de Apollinaire après avoir lu ses lettres à Lou