Éphéméride muse : Edith Wharton
J’ai découvert la romancière Édith Wharton née le 24 janvier 1862 par le cinéma, grâce à l’adaptation d’un de ses romans « Le temps de l’innocence ». Je suis allée vers un premier recueil de nouvelles « Une affaire de charme » et j’ai plongé la tête la première dans les autres. Elle avait le talent de vous prendre par la main et de vous entrainer dans l’univers de la nature humaine qu’elle disséquait avec un humour parfois cynique mais toujours avec une infinie tendresse. Le fait qu’elle ait plutôt croquer la société à laquelle elle appartenait ne change rien à l’intemporalité de ce qu’elle raconte, puisque une fois le vernis des apparences soulevées ne reste que la nature des hommes avec un grand H puisqu’elle n’épargnait pas ses congénères, cette nature qui tant que le monde sera monde ne changera pas. Pour tout ces petits bonheurs solitaires qu’elle m’a procuré, j’ai eu envie de lui faire un signe, comme elle n’était pas insensible au surnaturel, elle doit bien rire avec son ami et maitre Henry James.
Best wishes for your Birthday Lady Edith !
Je ne connais pas du tout cette femme, ni ses romans, mais j’ai déjà plein de livres à lire… Bonne soirée, Caro
i love it
as if!
Je l’imagine…Écureuil, ce qu’il y’a de bien avec les livres c’est qu’ils ne sont pas pressés. On les retrouve là où on les a posé.
comment ses nouvelles ont pu d’inspiré çà m’intéresse. C’est très classique, trop pour moi, après avoir vu le temps de l’innocence j’ai essayé de la lire.