Yoko Tsuno
Le Sep 13, 2012 | Publié dans: Muses en vrac
J’ai commencé à explorer au mois de juillet quelques muses fondatrices dans la fiction et après la série des Martine, je souhaitais revenir sur celle de Yoko Tsuno que j’ai découvert au collège. Ce sont la personnalité, les décors et les tenues qui m’ont surtout beaucoup marquées, les histoires un peu moins.
Yoko Tsuno est une série de bande dessinée créée en 1969 par l’auteur belge Roger Leloup. La série met en scène l’héroïne éponyme Yoko Tsuno, ingénieur en électronique. Yoko Tsuno a d’abord été envisagée comme un personnage secondaire de Jacky et Célestin, puis dans un personnage secondaire derrière les personnages de Vic et Pol. « À la fin des années 60, on n’imaginait pas qu’une femme puisse devenir une héroïne de bande dessinée ». La série est réalisée principalement par Roger Leloup qui signe tous les scénarios et dessins, avec la seule exception de la collaboration de Maurice Tillieux pour deux récits courts. Toutefois, on doit associer à la réussite de la série les studios Léonardo, et notamment la coloriste Béatrice, qui réalisent la mise en couleur des albums. La série est le prétexte pour l’auteur d’illustrer certains de ses centres d’intérêts (technologie, modélisme, cultures orientales, entomologie, etc…). «Aujourd’hui, je ne pourrais plus abandonner le personnage de Yoko. Je m’y suis attaché profondément. Je ne maîtrise plus son existence. A force de vivre à mes côtés, Yoko est devenue une partie de ma vie ». Yoko Tsuno est un des premiers héros féminins de la bande dessinée. Si d’autres personnages avaient connu le succès, comme Bécassine, ils n’étaient pas conçus comme des « héros positifs ». Les intrigues de cette série sont fortement fondées sur la technologie, incluant des concepts tel que dragons robots, voyage dans le temps ou dans l’espace et même plusieurs civilisations extraterrestres, dont les Vinéens et les Titans. Fasciné dès l’enfance par la technologie, quelques-unes des passions de Leloup, comme le modélisme, trouveront un débouché dans les histoires de Yoko Tsuno. Yoko et d’autres personnages utilisent de nombreux aéroplanes ou automobiles toujours décrits avec minutie.
Source : wikepedia
j’comprend mieux d’ou t’vient ton cote un peu noiche j’la connaissais pas ta yoko mais elle m’botte bien
Damoiselle Kiminou,
Je ne soupçonnais point l’existence d’une telle série. Vous aiguisez ma curiosité.
A vous relire
C’est super Nikolai. Je pense que c’est une fille très attachante et que c’est une bd pour les 7 à 77 ans.
@ Stella
hi ! hi ! elle est japonaise Yoko pas chinoise l’étoile. Elle devrait te plaire aussi.
Coucou CaroLine,
Heureuse de t’avoir lue.
Je ne connaissais pas Yoko Tsuno par contre les Martine j’adôore !
Passes une douce journée.
Bisous
Une sur deux c’est vraiment super Chris. J’en cherche des Martine. Hi ! hi !
Pareil pour moi Yoko je l’ai aperçue mais jamais lu et c’est drôle parce que Martine je l’ai découvert quand ma fille était petite comme quoi il n’est jamais trop tard
Je confesse mon inculture. Une héroine intelligente et belle sous la plume d’un homme c’est si rare que je vais aller la chercher pour voir. Bonne découverte. J’approuve.
Yoko n’est pas la seule dans ce cas quand même. Hi ! hi ! Tenez moi au courant de votre lecture, çà m’intéresse.
@ bella bw swann
De l’avoir aperçue et de s’en souvenir, pour moi c’est déjà un pas vers le désir inconscient. Maintenant Martine, c’est plus près culturellement forcément. Et contrairement à ce que j’entends parfois, assez intemporelle finalement.