Jane Campion
Le Mar 6, 2010 | Publié dans: Muses en vrac
Jane Campion est née à Wellington (Nouvelle-Zélande) le 30 avril 1954 d’une mère actrice et d’un père directeur de théatre. Elle est diplômée en anthropologie de l’université de Victoria, et a étudié la peinture au College of the Arts de Sydney. Au début des années 80, elle commence à tourner des films pour la Australian Film Television and Radio School. Son premier court métrage, An Exercise in Discipline – Peel, remporte le prix du meilleur court-métrage lors du Festival de Cannes en 1986. Ses deuxpremiers longs métrages, Sweetie et Un ange à ma table(d’après un roman de Janet Frame) la font remarquer, mais c’est avec La Leçon de pianoqu’elle atteint une renommée internationale lorsqu’elle remporte la Palme d’or lors du Festival de Cannes 1993. En 1996, elle adapte Portrait de femme de Henry James, et en 2009, elle réalise Bright Star sur les dernières années de la vie du poète anglais John Keats.
FILMOGRAPHIE
Réalisatrice
Chacun son cinéma – 2007
Le Court des grands – 2005
Portrait de femme – 1996
Un Ange à ma table – 1990
Productrice
Soft fruit de Christina Andreef – 2001
Réalisatrice – Scénariste
Bright Star – 2010
8 – 2006
Holy Smoke – 1999
La Leçon de piano – 1993
Réalisatrice, Régisseur adjoint
In the Cut – 2003
Source : Wikepedia et allociné.fr
Très intéressants tes articles Caroline,bien documentés et attractifs.
J’ai surtout beaucoup aimé « La leçon de piano », c’est fort et émouvant, j’ai bien aimé « Bright Star », une superbe photo, une belle histoire, je ne connaissais pas ce poète anglais.
Merci caroline et bon dimanche
C’est marrant Caro, j’m’ souvenais pas que la lecon de piano avait ete fait par une femme. J’avais vachement aime, c’etait sexe sans etre sexe, un truc de dingue, et alors le coup des doigts
coupés,une horreur, mais moi aussi, j’suis du genre a aimer a la folie. Par contre, les autres inconnus au bataillon, a part brighstar que j’suis allee voir a cause de toi et non d’une pipe,
j’m’suis jamais aussi ennuyée au cinoche depuis, pas si longtemps d’ailleurs, avatar m’a tape sur le systeme dans le genre arnaque ecolo, j’lui tire mon chapeau au pere du titanic. Okay cool,
j’sais maintenant de quoi elle a l’air. M’etonne pas que tu la kiffe. C’est vraiment pas mal rosanna de toto, j’suis en train de la réecouter et c’est super d’avoir un joli son de gratte en
t’repondant.
J’ai adoré « la leçon de piano » ! c’est une merveilleuse histoire d’amour, une histoire de désir, d’amour charnel irrésistible…
J’aime beaucoup cette femme ;la leçon de piano est pour moi un petit bijoux
Je suis comme ceux qui précèdent, je n’ai vu que « la leçon de piano » de Jeanne Campion. Votre article est tout à fait passionnant Caroline.Merci pour ce partage. Bisous et bon lundi. Dominique
Je vous en prie Dominique. Heureusement que l’on peut trouver toute sa production en DVD alors je pense que vous vous rattraperez.
Merci Jacques, venant de toi, ces compliments prennent tout leur sens. J’ai beaucoup aimé aussi Bright Star, entendre Keats dans le texte, Jane Campion a réussi son pari, ce film est un tableau
vivant. J’ai été déçue que ce film ne soit pas plus primé.
On va dire que tu n’as pas tout perdu dans ce cas Stella. Il y’a au moins un film de Campion qui t’a plu, ceci dit, je te conseil « in the cut » toujours de Jane Campion, çà devrait de parler
davantage, c’est un thriller sulfureux. Tu m’en diras des nouvelles.
Absolument d’accord Eva, il y’a toujours quelque chose de pictural dans la photographie chez Jane Campion, un œil comme le tien ne pouvait que le percevoir.
Elle a un talent extraordinaire, qui plus est avec la leçon de piano, elle a su donner à Harvey Keitel une autre dimension de jeu, Holly Hunter était déjà excellente, dans la leçon, elle transcende
tout avec une grâce infinie.
Beaucoup d’infos sur cette cinéaste dont je ne connaissais que « la leçon de piano »… Bonne soirée et bisous !
C’est formidable d’en apprendre toujours un peu plus écureuil.