Joséphine Baker
En 1925, Joséphine découvre l’Europe et Paris, un monde qui, s’il n’est pas exempt de racisme n’est pas soumis à la ségrégation. Très vite, elle va s’imposer dans la désormais mythique « Revue nègre » où ses « talents » feront scandale et succès. Elle deviendra « la première star à se montrer presque nue ». Elle posa pour les peintres Van Dongen, Foujita et Picasso. Elle interpréta des chansons qui demeurent dans l’histoire de la chanson française parmi lesquelles « La petite Tonkinoise » et « J’ai deux amours »… Joséphine Baker prend la nationalité française en 1937 , et pendant la Seconde Guerre mondiale joue un rôle important dans la résistance à l’occupant, son courage durant la guerre lui vaudra des funérailles militaires. Elle utilisera ensuite sa grande popularité dans la lutte contre le racisme, et pour l’émancipation des noirs, en particulier en soutenant le Civil Rights Movement de Martin Luther King.
A la fin de sa vie, son combat fut celui de la famille qu’elle s’était constituée en adoptant des enfants de multiples origines qu’elle avait rassemblés dans son château des Milandes, dans le Périgord. Joséphine Baker est décédée le 12 avril 1975 à Paris, quatre jours après le début d’un spectacle s’inspirant de sa vie
Alors la une grande dame que j’ai toujours admiré
fantastique et si humaine joséphine
Étonnant parcours et quelle longévité dans l’exercice de son art, par la volonté d’être heureuse et entourée d’enfants. Une Muse, y’a pas à dire Didier.
la j’trouve drolement mimi et au moins t’en a pas fais des tartines ma tite caille pas dis donc en v’la un qui s’est bien fait la malle keseke j’t’disais ma carounette des violons en veux tu en voila et puis ca fait pschit et moi et moi et moi j’suis toujours la 😎