Éphéméride muse : Katherine Dunham
Malgré mon absence, je ne voulais pas que ce 24 juin, jour anniversaire de la naissance de ma muse Katherine Dunham danseuse et chorégraphe soit passée sous silence. En effet, j’ai eu l’occasion d’évoquer le parcours incroyable de la pionnière de la danse contemporaine noire américaine née le 24 juin 1909 à Glen Ellyn près de Chicago dans un article en date du 31 décembre 2009. Katherine Dunham par sa pugnacité a ouvert la voie à Alvin Ailey qui a son tour permit à Judith Jamison de faire exploser son talent. La technique Dunham est un mélange d’inspirations des caraïbes mais aussi de toutes les autres. Elle ne se fixait aucune limite et refusait les barrières imposées par la société américaine ségrégationniste. James Dean et Marlon Brandon prirent des cours à la Dunham School de New York. J’éprouve une admiration sans borne pour ce petit bout de femme qui a su prendre de la hauteur dans son art et se hisser à la place qu’elle avait choisi envers et contre tout.
From the bottom of my heart I wish you behond time and death a very beautiful birthday Lady Katherine
Le son n’est pas de la meilleure qualité, mais les images sont si anciennes que c’est tout naturel. Nous sommes au début du siècle et j’ai toujours plaisir à revoir cette chorégraphie bien de son temps. J’espère que vous apprécierez.
bah me souviens pas d’elle ma tite caille moi la danse et ce genre de zik tu sais que c pas ma came en plus en n et b c’est carrement mortel pour mezigue 😡 😆
Une réalisation à l’américaine mais j’aime bien cette ambiance des années 50 A bientôt Caro
Oui le son n’est pas terrible Caroline mais c’est un beau témoignage. Merci pour ce partage. Bisous pluvieux. Dominique
J’aime bien ces images en noir et blanc qui me rappellent des souvenirs : télé en noir et blanc, vieux phonographe… Bisous
On a çà en commun aussi Brigitte, et je ne sais pas d’où çà me vient en plus.
@ Stella – com 1
Alors passons vite mon étoile
@ Gérard Méry – com 2
En plus là il y’a un quelque chose des caraibes dans ce mélange qu’elle a su crée, je ne sais pas si c’est mon imaginaire mais même en N&B je ressens les couleurs ici
@ Dominique BAUMONT – com 3
J’avoue que moi qui n’aime pas la pluie d’ordinaire je l’ai accueillie avec plaisir après deux jours caniculaires. Mais là c’est vrai que çà commence à durer. Voilà que je fais ma madame michu qui râle après le temps.