Olympe de Gouges
En 1765 elle épouse Louis Aubry, officier de bouche de messire de Gourgues. Deux plus tard c’est la naissance de son fils. Après trois années de mariage, ne voulant pas tenir le rôle de bourgeoise de province, elle fuit le domicile conjugal pour aller à Paris. Elle rêve de célébrité, elle se fabrique un nom à partir du prénom de sa mère et du patronyme « Gourgues » et devient Olympe de Gouges. Femme de lettres prolixe, elle devient la maîtresse de Sébastien Mercier et courtisane à l’occasion. Ce n’est qu’à partir de la Révolution qu’elle va montrer à quel point elle est en avance sur son temps. Elle est en effet, avec Théroigne de Méricourt et Claire Lacombe l’une des premières féministes. Elle se lance dans la lutte pour l’égalité des droits. Jusqu’à la fuite de Louis XVI à Varennes, elle se veut royaliste, puis elle change d’avis, pour enfin revenir à ses premières idées et proposer d’aider Malesherbes dans sa défense de Louis XVI. Olympe de Gouges n’a pas froid aux yeux, ainsi lorsqu’un chroniqueur a la malheureuse idée de ne pas parler d’un de ses ouvrages, tout simplement, elle le provoque en duel !
Mais c’est à partir de 1791 qu’Olympe de Gouges va montrer toute sa grandeur. L’Assemblée constituante produisant une Constitution qui exclut les femmes des droits de cité, Olympe publie un texte qui fait date dans les annales du féminisme originel : « Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne» Le préambule adressé à Marie-Antoinette, ainsi que l’article X étaient prémonitoires, vous pourrez le constater en consultant l’intégralité de cette déclaration en cliquant sur le lien ci-dessus. Elle rédige également des pamphlets contre Marat et Robespierre. Lors du procès de Louis XVI, elle tente de défendre le roi, qu’elle ne juge pas coupable en tant qu’homme mais uniquement comme souverain. Solidaire des girondins après les journées de mai-juin 1793, elle est accusée d’être l’auteur d’une affiche girondine. Olympe de Gouges est arrêtée le 20 juillet 1793, condamnée à mort et guillotinée le 3 novembre 1793.
« Pensez à moi et souvenez-vous de l’action que j’ai menée en faveur des femmes ! Je suis certaine que nous triompherons un jour ! »
Source : wikepedia
c’est donc a ca que ca ressemblait mais en fait qui l’avait ecrit ce truc de girondin pour l’quel on l’a zigouille elle aurait mieux fait d’la fermer elle aurait fait sa declaration des femmes et d’autres trucs ca se trouv equi nous aurait fait gagner genre 50 ou 100 ans au lieu de jouer les craneuses rebelles
Il y’a des personnes ma chère étoile qui ne peuvent pas faire semblant de vivre si leurs convictions sont bafouées. Je n’en sais pas plus sur ce texte, ni son auteur, mais il y’a fort à parier que les accusateurs étaient les auteurs, c’est tellement plus simple et çà s’est largement pratiqué à l’époque. Je ne crois pas que ce soit une femme qui voulait jouer les rebelles, elle voulait simplement exister en tant que être humain à part entière et elle a eu raison d’aller au bout de ses convictions. Sans elle, qui sais si tu aurais la liberté de parole qui est la tienne aujourd’hui, y as tu pensé ma belle ?
oh la vache j’m’suis plantee j’t’ai repondu d’un coup d’un seul sur l’autre sujet mais c pas grave ma carounette j’pense qu’elle est importante bien sur mais faut pas non plus trop cirer au bout d’un moment tu glisses
Je comprends pas cette tendance à associer admiration, inspiration voire émulation avec du cirage de pompe ou autre de tes expressions favorites. Où est le problème ? Dire qu’on admire quelqu’un ne nous enlève rien de spécial à mon avis l’étoile.
c’est quoi c’delire c’est le retour de ton filosophe qui brouille tes radars j’passe ma vie a t’dire que j’t’kiffe et que j’suis raide de ce que tu fais et vue que j’ai presque toute ta collection au moins c’est pas des paroles en l’air comme tout tes ploucs qui te servent la soupe et sont pas foutu de prendre 5 secondes pour parler de ton site de qui tu t’fous ma petite caille faut pas confondre mes vannes de rigolade avec c’que j’pense
L’important ici ce sont deux choses « les droits de la femme » et le mot « citoyenne ». VIVE OLYMPE et merci de la refaire vivre. Halte à la bêtise.