Maya -Tpok Jazz

Je dois avouer qu’en dehors de la poétesse afro-américaine Maya Angelou, je ne connais aucune femme prénommée ainsi. Mais je ne désespère pas, çà m’a tout l’air d’un doux diminutif qui fond dans la bouche comme dans celle du chanteur de l’orchestre du Très Puissant Ok Jazz dont je ne connais pas le nom. (aie) Je ne résiste pas aux accents de désespoirs aiguës qu’il met en racontant à quel point sa Maya lui en a fait voir des vertes et des pas mûres et qu’il continue à aimer malgré tout. Ah l’amour ! Pour la vidéo, même si l’image n’est pas toujours nette, c’est super de pouvoir plonger dans ces années là et entendre les musiciens en live  nous offrir une belle rumba congolaise des années 70 je crois, qui s’arrête un peu brusquement. Eh oui, on ne peut pas tout avoir.





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